N’est-il pas un peu tard déjà pour entretenir le public des fêtes de Bologne ?
Elles ont fort occupé la presse, il y a un mois, et il semble qu’il ne reste grand’chose de nouveau à en dire.
Le récit, d’ailleurs, risquerait d’être long, s’il avait la prétention d’être complet.
La ville avait accumulé les spectacles les plus divers ; elle offrait à la fois à ses hôtes une exposition provinciale, une inauguration de statue et la célébration d’un centenaire : c’était beaucoup pour des gens qui ne disposaient que de quelques journées.
Comme il fallait se borner, j’ai choisi le centenaire.